SERVIR LA VIE : LIRE, ÉCOUTER, VOIR

Trouvez ici des articles de fond, des vidéos à voir ainsi que nos lettres d'information afin d'en savoir plus sur la Vie.

NOS LETTRES D'INFORMATION

Bienvenue sur la rubrique dédiée à nos lettres bisannuelles. Elles comportent des articles de fond ainsi que des informations plus contextuelles, comme des actions menées par le Réseau Vie ou nos partenaires. Nos lettres sont au format PDF.

NB : certains liens ne sont pas à jour ou ne fonctionnent plus du fait de l'âge de certains articles ou de modifications des sites cibles.

LA PILULE CONTRACEPTIVE EST-ELLE SANS RISQUE POUR LES JEUNES FILLES ? CE QUE NOUS DISENT LES NEUROSCIENCES

La prescription de contraceptifs hormonaux aux jeunes filles s’est généralisée. Bien souvent, avec bonne volonté, les parents l’ont conseillée à leur fille pour la protéger contre une grossesse non désirée, pour diminuer les douleurs des règles, ou pour soigner un trouble cutané, acné ou hyperpilosité.

Cependant des voix se sont élevées pour remettre en cause cette pratique :

  • des éducateurs ont alerté sur les effets négatifs possibles de cette prescription sur la vie personnelle et relationnelle des jeunes ;
  • la crainte des conséquences d’une modification de la relation sexuelle, originellement célébration de l’amour et source de la transmission de la vie, a été exprimée ;
  • des troubles psychologiques, une altération de l’humeur et une augmentation du risque de dépression après le début de l’utilisation ont été signalés dans la presse scientifique ;
  • de plus, des cas de phlébite, d’embolie et d’accident cérébral ont défrayé la chronique, et ont été suivis d’une large remise en cause des contraceptifs hormonaux sur les réseaux sociaux.
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UN DEMI-SIÈCLE D'ENSEIGNEMENT DE L’ÉGLISE SUR LA VIE HUMAINE

Les progrès de la science et de la médecine ont permis depuis les années 1960 de procurer des moyens techniques inédits pour pratiquer la contraception, l’avortement, l’euthanasie, la location d’utérus (GPA), la création d’embryons en laboratoire (FIV) et d’autres pratiques posant de graves questions morales.

L’Église catholique a fait son devoir en s’exprimant à de nombreuses reprises sur ces sujets.

Elle a donné au monde deux encycliques de deux papes et cinq textes de la plus haute instance doctrinale du Vatican concernant la protection et la promotion de la vie humaine.

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LES RISQUES DE L’AVORTEMENT POUR LA SANTÉ DE LA FEMME ET DE SA FAMILLE

Cet article aborde l’IVG sous l’angle de la santé publique. Comme chacun de nous le savons, le problème est beaucoup plus vaste. L’IVG pose de nombreuses questions d’éthique.

Quel statut donnons-nous à l’embryon ? Qui a droit à la Vie ? Quel droit pour le père ? Quelle liberté donnons-nous aux personnels soignants, aux pharmaciens, etc. ?

L’avortement comporte des risques, des risques pour la santé physique et psychique de la femme qui avorte, mais aussi pour la santé psychique du père de l’enfant, et de ses frères et sœurs.

Il est important qu’une femme envisageant l’avortement les connaisse. Et il est important que les femmes ayant demandé ou subi une IVG puissent plus tard bénéficier de soins, et d’un accompagnement thérapeutique si elles le souhaitent.

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FEMMES ENCEINTES SEULES : TOUR D’HORIZON DES PROPOSITIONS D’ACCUEIL EN FRANCE

Aujourd’hui en France, il existe une douzaine de lieux d’accueil atypiques pour les femmes enceintes seules, portés par des associations. Quelle est leur utilité ? À quels besoins correspondent-ils ? Qui sont les femmes qui frappent à leur porte et demandent à être accueillies ?

Nous avons choisi de vous présenter ici ces Maisons et lieux d’accueil qui ne se situent pas seulement dans les domaines des missions de service public (logement, protection de l’enfance, grande précarité sociale), mais qui ont chacun imaginé des actions et des modes d’accompagnement au service des femmes enceintes seules, dès les premières semaines de grossesse.

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L’AVORTEMENT : POURQUOI L'AVORTEMENT NE SERA JAMAIS UN DROIT

Pourquoi la pratique de l’avortement est-elle si sensible et importante idéologiquement, au point d’être proclamée, par l’Assemblée nationale française « droit fondamental », « droit universel » et « condition indispensable pour la construction de l’égalité réelle entre les femmes et les hommes et d’une société de progrès » ?

Les enjeux de l’avortement dépassent la question de la régulation des naissances car, en transformant le rapport de notre société à la vie humaine, cette pratique la désacralise et dénature la procréation ; elle libérerait ainsi l’homme de son respect superstitieux envers la nature.

L’avortement ouvre alors la voie à la maîtrise rationnelle de la vie humaine considérée comme un matériau ; l’humanité accroît sa faculté de se façonner elle-même, elle est davantage « maître et possesseur de la nature » dans le prolongement du projet cartésien.

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L’AVORTEMENT : CRIME OU «DROIT FONDAMENTAL» ? UN ESSAI D'APPROCHE RATIONNELLE

Les enjeux de l’avortement dépassent le seul enfant car en transformant le rapport de notre société à la vie humaine, cette pratique la désacralise et dénature la procréation.

L’avortement ouvre la voie à la maîtrise de la vie humaine considérée comme un matériau.

Il condamne la société au matérialisme, interdit l’expression de la souffrance des femmes et permet en dissociant sexe et engendrement la prise de contrôle de la procréation et la vie, fondement de toute civilisation.

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HUMANAE VITÆ : QU'EN PENSER AUJOURD'HUI ?

Le 25 juillet 1968, en la fête de l’apôtre saint Jacques, le pape saint Paul VI donnait à l’Eglise, et à tous les hommes de bonne volonté l’encyclique Humanae Vitæ sur le mariage et la régulation des naissances.

Accueilli avec beaucoup de réticences par certains, même au sein de l’Eglise catholique, plus de cinquante ans après sa publication ce texte apparaît aujourd’hui véritablement prophétique.

C’est ce que vous pourrez lire dans notre article : « Humanae Vitae : qu’en penser aujourd’hui ? ».

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AVORTEMENT : CONSÉQUENCES

L’étude des conséquences d’un avortement est inséparable de la tragique « loi Aubry » de 2001, aggravée par la loi de 2017 : le « délit d’entrave » introduit une difficulté artificielle dans la recherche d’informations objectives et non biaisées.

Par exemple un médecin – ou toute autre personne sur le chemin de candidates à l’avortement – est susceptible d’être inquiété simplement s’il indique les aides possibles pour pouvoir garder le bébé. Il lui est cependant loisible d’avertir la femme des conséquences médicales fâcheuses possibles d’un avortement. Pour le moment...

De sorte que la France se distingue par une information officielle uniquement en faveur de l’élimination, accentuée par les multiples pressions sur les divers acteurs :

« Aucun médecin, aucune infirmière, aucun adulte ne m’a montré une autre voie que l’avortement »
« Personne n’a cherché à savoir si [je voulais vraiment avorter]. Même la psychologue à qui j’ai essayé de dire que je préférais [le] garder n’a pas prêté attention à ma parole, comme si mon avis ne comptait pas. »

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LA PILULE CONTRACEPTIVE : GENÈSE, CONSÉQUENCES ET ANALYSE

Cette étude se propose de donner une synthèse du livre remarquable de S. Debusquat (« J’arrête la pilule »).

L’auteur est une femme qu’on peut décrire en première approche comme féministe de gauche, tant par son activité professionnelle que par les opinions professées. Nous soulignons cependant la qualité factuelle exceptionnelle de l’étude, dont nous ne voyons pas aujourd’hui d’équivalent.

La première partie parlera de la genèse du produit et des circonstances troublantes de son autorisation ; la seconde abordera les principales conséquences recensées, sur la santé des femmes qui en consomment, mais aussi sur la santé publique : il existe une exposition passive aux hormones synthétiques aussi bien qu’à la fumée de cigarette ; ses dégâts sont moins immédiatement perceptibles mais beaucoup plus ravageurs.

Des faiblesses apparaissent dans la dernière partie où l’auteur s’aventure sur les positions de l’Église Catholique ; ses connaissances dans ce domaine sont dramatiquement limitées et nous nous permettrons d’en donner un aperçu plus exact.

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L’OBJECTION DE CONSCIENCE

Objection de Conscience (ODC) : refus, pour un individu ou un groupe, d’obéir à une loi ou un règlement adopté par la majorité des citoyens, ou imposé par un gouvernement, et ce au nom d’une exigence supérieure, qu’il perçoit dans sa conscience.

Clause de Conscience (CDC) : cadre légal prévu pour l’exercice de ce refus ; c’est la traduction dans une législation nationale du principe 18 de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme ou 9 de la Cours Européenne des Droits de l'Homme.

« Lorsqu’on choisit une action morale ou immorale, on choisit aussi de devenir un certain type de personne »

On trouvera ici un condensé de ce qu’il peut être utile de connaitre concernant l’objection de conscience, plus spécifiquement dans le cadre médical de plus en plus vigoureusement sollicité.

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PROCREATION MEDICALEMENT ASSISTEE (PMA) POUR LES FEMMES : QUELQUES ELEMENTS DE DISCERNEMENT

Aude Mirkovic est Maître de conférences en droit privé et porte-parole de l’association Juristes pour l’enfance

Dans la foulée de l’avis favorable donné par le comité consultatif national d’éthique en juin 2017, la PMA dite pour les femmes sera discutée cette année dans le cadre des états généraux de la bioéthique, avant un possible projet de loi en la matière lors de la révision de la loi de bioéthique.

Il importe donc que le législateur comme les citoyens s’emparent de ce sujet afin d’en saisir les enjeux. De quoi s’agit-il ?

La PMA pour les femmes célibataires et les couples de femmes est l’insémination par des donneurs anonymes de femmes dont le projet d’enfant n’inclut aucun homme.

Pour l’enfant, principal intéressé et pourtant grand absent des débats, ces PMA sont des procréations sans père : la PMA pour les femmes réalise  l’effacement du père. La branche paternelle de l’enfant est rendue vacante, le cas échéant pour permettre à une deuxième femme, la conjointe de la mère, de réaliser son désir d’enfant.

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JE PARLE D’IVG AVEC MA FILLE

Entretien avec Michel et Catherine Hermenjat

Ce document fait suite à celui de notre précédente lettre d'avril 2017 : « Je parle d'IVG à mon fils »

Quarante ans après la légalisation de l'avortement en France cette pratique est aujourd'hui courante, y compris parmi les jeunes. Comment et quand évoquer ce sujet avec nos filles ?

Pour éviter qu'une fille en arrive là, nous recommandons d'abord, en amont, d'accueillir et de magnifier sa féminité, en particulier au moment de sa puberté.

Plutôt qu'un discours contre l'avortement, nous invitons les parents à assurer à la jeune fille sa légitimité inconditionnelle à l'existence. Lui affirmer : « Quelles que soient les circonstances dans lesquelles tu auras un enfant, nous te soutiendrons », c'est aussi dire à notre ado que nous défendons sa propre existence sans réserve, quoi qu'il lui arrive !

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JE PARLE D’IVG AVEC MON FILS

Michel Hermenjat est l’auteur de « Cet enfant qui m’a manqué, parole d’homme face à l’avortement », paru en 2012 aux éditions Première Partie à Paris. Un des premiers ouvrages à aborder le vécu de l’IVG dans une perspective masculine. Il a retrouvé dans le récit biblique de nombreux passages qui font écho à la situation actuelle et pas seulement sur le plan moral.

Père de 5 enfants, il est actuellement chargé du développement de prestations
alternatives en faveur de la maternité adolescente. Son deuxième livre, dédié à son action, « Adonnaissance, ces jeunes qui donnent la vie en contrebande », paraîtra prochainement.

LETTRE À MON FILS

Mon fils,
Je profite de ton séjour linguistique à l’étranger pour t’écrire ce petit mot que tu pourras lire tranquillement. Tu en es à ta quinzième année, ta voix mue, tu prends de l'épaisseur et ton regard sur les filles est en train de changer. Je suis fier de toi et d’envisager ton avenir m’emplit de joie et d’espoir.

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LES CAUSES FONDAMENTALES DE L’AVORTEMENT

Dans cet article, nous essayerons de voir et de connaître les causes fondamentales d’un avortement.

Quand on interroge les femmes sur les bienfaits de l’avortement, plus de 80% estiment qu’il vaudrait mieux l’éviter ; et seule une infime minorité (moins de 3%) persiste à affirmer qu’il n’a aucune conséquence psychologique.

On ne peut qu’être frappé de la discordance entre cette perception et le nombre d’avortements en France : pourquoi recourir massivement à un acte que les principales intéressées désapprouvent tout aussi massivement ?

L’avortement : pourquoi ? On peut discerner trois causes fondamentales :

  • La peur (de la perte d’un avenir planifié, de l’autre, de la vie)
  • Les pressions (du conjoint, des proches, des institutions)
  • Le défaut d’information (biaisée ou étouffée).
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LES DERNIÈRES ÉVOLUTIONS LÉGISLATIVES 2015-2016

L’avortement

La loi du 26 janvier 2016 supprime le délai de réflexion en matière d’avortement, donne aux sages-femmes la possibilité de réaliser un avortement médicamenteux et aux médecins des centres de santé celle d’effectuer un avortement chirurgical.

Et la recherche ?

Depuis la loi de bioéthique de 2004 (Article L2151-5), la recherche sur les cellules souches embryonnaire est autorisée. Censée être valable pour cinq ans, cette autorisation a été renouvelée à trois reprises, la dernière fois en janvier 2016.

Conclusion

La loi Claeys-Léonetti sur la fin de vie du 2 février 2016 donne le droit aux parents, comme au corps médical, de décider si la vie à venir sera « digne » ou non. La terrible question posée par le Pr Lejeune lors de sa conférence de 1969 n’a jamais été plus actuelle.

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ARTICLES DE FOND

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--> Espérance de Vie et Mortalité infantile par Alain Fumey

Réseau Vie, septembre 2021

Vous trouverez ci-après une analyse réalisée par Alain Fumey, agrégé de mathématiques.

Il démontre la dégradation spectaculaire de l’Espérance de vie depuis le vote de la loi Veil si nous prenons l’hypothèse que la Vie commence à la conception. Cette définition donnée par l’église Catholique de la Vie est corroborée par les avancées scientifiques. L’ADN unique de chaque être humain se trouve dès la conception, le cœur du bébé bat dès la troisième semaine, les maternités sauvent des prématurés de plus en plus tôt (un bébé a été sauvé alors qu’il était à 131 jours de son terme, soit à environ 4 mois  ½ de grossesse, soit moins de 20 semaines. Source : Ouest-France.fr)

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--> Un article d'une association partenaire du réseau Vie

Sondage sur les directives anticipées : un dispositif mieux connu
Alliance Vita, 5 février 2021

Cinq ans après le vote de la loi « Claeys-Leonetti » du 2 février 2016, le Centre National des Soins Palliatifs et de la Fin de Vie (CNSPFV) publie un sondage. L’enquête a été réalisée par l’institut BVA au téléphone en janvier 2021 auprès d’un échantillon de 902 Français âgés de 50 ans et plus, considéré comme représentatif de cette population.

Les résultats de cette enquête révèlent que les Français connaissent davantage les dispositifs issus de la loi : 48 % connaissent les directives anticipées ; 72 % connaissent la personne de confiance.

Brahim Bouselmi, directeur du CNSPFV, s’interroge sur un possible « effet Covid » pour expliquer la hausse des chiffres de rédaction des directives anticipées : 18 % des personnes interrogées ont déjà rédigé les leurs…

Lire la suite sur le site d'Alliance Vita

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--> Avortement : conséquences

Introduction : « Ça [ne] va pas du tout, qu’est-ce qui se passe ? [...] Vous ne m’aviez pas dit que ça me ferait ça ! »
L’étude des conséquences d’un avortement est inséparable de la tragique « loi Aubry » de 2001, aggravée par la loi de 2017 : le « délit d’entrave » introduit une difficulté artificielle dans la recherche d’informations objectives et non biaisées. Par exemple un médecin – ou toute autre personne sur le chemin de candidates à l’avortement – est susceptible d’être inquiété simplement s’il indique les aides possibles pour pouvoir garder le bébé. Il lui est cependant loisible d’avertir la femme des conséquences médicales fâcheuses possibles d’un avortement.
Pour le moment...

De sorte que la France se distingue par une information officielle uniquement en faveur de l’élimination, accentuée par les multiples pressions sur les divers acteurs :
« Aucun médecin, aucune infirmière, aucun adulte ne m’a montré une autre voie que l’avortement »
« Personne n’a cherché à savoir si [je voulais vraiment avorter]. Même la psychologue à qui j’ai essayé de dire que je préférais [le] garder n’a pas prêté attention à ma parole, comme si mon avis ne comptait pas. »
Aucune des publications étrangères, notamment anglo-saxonnes, dont on ne peut pourtant pas contester le sérieux et la fiabilité, n’a droit de diffusion dans les documentations gouvernementales. Seuls les sites associatifs apportent une information fiable et diffusent au grand public ces études, appuyés par des universitaires de renom.
On peut cependant pointer les contrevérités… Lire la suite

LES VIDÉOS DE NOS PARTENAIRES

Nous vous invitons également à voir les vidéos des conférences du Réseau Vie

Une présentation de la Fondation Jérôme Lejeune par Jean-Marie Le Méné

La vie du généticien Jérôme Lejeune découvreur de la trisomie 21

Les jeunes d'Alliance Vita ont parcouru la France pendant l'été 2020.

La présidente de l'association AGAPA nous présente son engagement et ses actions.

 Mère de Miséricorde et la prière pour les tout-petits défunts

Les Maisons Marthe et Marie pour l'accueil des femmes enceintes isolées

Les Associations familiales catholiques au service de toutes les familles

Juristes pour l'enfance : des juristes engagés pour la défense des droits de l'enfant