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LES ACTUALITÉS DE LA VIE EN FRANCE ET DANS LE MONDE

Assemblée nationale

Avortement dans la constitution : l’Assemblée vote pour !

Un appel urgent de nos amis d’Alliance Vita : Ce 30 janvier, les députés viennent de voter solennellement à 493 voix contre 30 le projet de loi visant à inscrire la « liberté garantie » de la femme de recourir à l’IVG dans la Constitution. Un projet injustifié et dangereux qui passe entièrement à côté de l’urgence sociale ! En France, l’avortement n’est nullement menacé. La preuve en est que le nombre d’avortements a atteint le niveau record de 234 300 en 2022. Si l’avortement est inscrit dans la Constitution, le risque est grand de voir détricoté le cadre législatif à l’avenir. Comment peut-on croire de bonne foi qu’une fois l’IVG inscrite dans la Constitution, des libertés garanties par la loi, telle la clause de conscience spécifique des soignants, ne soient pas supprimées comme cela a été encore tenté en 2022 par la loi d’allongement des délais ? Comment garantir qu’on n’aboutira pas à des avortements…

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Ayala Isenberg

Témoignage d’Ayala Isenberg : enceinte d’un viol à 15 ans elle garde son bébé

Du site LifeSite News : Une jeune femme qui a choisi la vie pour le bébé qu’elle a conçu à la suite d’un viol s’est prononcée contre la rhétorique pro-avortement qui utilise des situations tragiques comme la sienne pour justifier les avortements. Dans une interview sur le nouveau podcast de Students for Life of America « Parlons de la vie » animé par Christine Yeargin et Autumn Higashi, Ayala Isenberg (alors Harrison), 20 ans, a donné son témoignage sur le fait de devenir une défenseur de la vie suite à une conception par un viol. En tant que jeune adolescente et en choisissant de ne pas avorter. « Honnêtement, je trouve assez insultant d’utiliser des femmes comme moi et nos enfants comme aliment politique pour le discours [pro-avortement], et surtout pour un gain économique pour l’industrie de l’avortement », a déclaré Ayala Isenberg. «Je trouve cela insultant parce que je pense que…

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Enfant et maman

La voie de la paix exige le respect de la vie

Lundi 8 janvier, le Pape reçevait en Audience les représentants de 184 pays, du Corps Diplomatique près le Saint-Siège. A cette occasion, il a parlé du respect de la vie et du gender en ces termes :      « La voie de la paix exige le respect de la vie, de toute vie humaine, à partir de celle de l’enfant à naître dans le sein de la mère, qui ne peut être supprimée, ni devenir objet de marchandage. À cet égard, je trouve regrettable la pratique de la dite mère porteuse, qui lèse gravement la dignité de la femme et de l’enfant. Elle est fondée sur l’exploitation d’une situation de nécessité matérielle de la mère. Un enfant est toujours un cadeau et jamais l’objet d’un contrat. Je souhaite donc un engagement de la Communauté internationale pour interdire cette pratique au niveau universel. À chaque moment de son existence, la vie humaine doit être préservée et…

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bébé emmitouflé

IVG dans la Constitution : parler d’une liberté est absurde

Tribune de Grégor Puppinck parue dans Valeurs Actuelles. Manifestement, le gouvernement ne sait pas ce qu’est une liberté et ce qui la distingue d’un droit.  Après bien des hésitations, il propose d’ajouter à la Constitution une phrase alambiquée disant que « la loi détermine les conditions dans lesquelles s’exerce la liberté de la femme, qui lui est garantie, d’avoir recours à une interruption volontaire de grossesse ». Une telle phrase, quand on la compare à la qualité juridique de la Constitution, est symptomatique d’une forme de décadence. D’abord quant à son objet, car l’avortement n’a rien à faire dans une Constitution. Ensuite, quant à son expression, car parler de “liberté garantie” est redondant. Plus encore, c’est toute la phrase qui l’est car elle n’ajoute rien à ce qui est déjà, à savoir que la loi organise l’accès à l’IVG.  La seule nouveauté consiste à inscrire dans la Constitution que l’IVG est une “liberté”. Mais là…

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Bébé habillé en vert

«J’ai accouché le jour du bac» : ces étudiantes déjà mères de famille

Du site du Figaro : Pendant leur scolarité, ces jeunes femmes sont devenues mamans à 17, 19 ou 22 ans. Une grossesse souvent imprévue, qui ne les a pas découragées à poursuivre leurs études. «J’ai accouché le jour du bac .» Clara ne s’attendait pas à donner naissance à sa fille à 17 ans, et encore moins le jour des épreuves de spécialité, en mars dernier. «J’avais préparé mon sac et ma convocation la veille du premier écrit. J’étais tellement prête que j’aurais pu passer mon bac à la maternité», raconte-t-elle. Si en France, l’âge moyen des jeunes mamans est de 31 ans, de nombreuses lycéennes ou étudiantes accueillent leur premier enfant en plein milieu de leur cursus scolaire. La grossesse, souvent imprévue, et l’accouchement, poussent généralement les élèves à interrompre leurs études. Mais d’autres font le choix de s’accrocher pour obtenir leur diplôme. Lorsqu’elle apprend sa grossesse un mois avant sa rentrée…

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Main jeune main âgée

Remise du rapport Chauvin, une stratégie pour développer et décloisonner les soins palliatifs

Un article d’Alliance Vita du 15/12/2023 Le 8 décembre 2023, Franck Chauvin, à la tête depuis le mois de juin de « l’instance de réflexion » sur les soins palliatifs, a remis à la ministre Agnès Firmin Le Bodo son rapport, intitulé « Vers un modèle français des soins d’accompagnement ». Ce rapport propose une stratégie décennale pour les soins palliatifs et présente 15 mesures phares, avec l’ambition de dessiner « un modèle français des soins d’accompagnement. » Une nouvelle notion : les « soins d’accompagnement » Ce rapport commence par introduire la notion de « soins d’accompagnement », définis comme « l’ensemble des soins participant à la prise en charge globale de la personne malade et de son entourage, réalisés par une équipe pluridisciplinaire, afin de préserver sa qualité de vie et son bien-être. » Ces soins d’accompagnement comprennent les soins palliatifs, que les rapporteurs réduisent à des « soins médicaux qui visent à anticiper, prévenir et traiter les souffrances, notamment au stade de la fin de vie.», et « englobent aussi…

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«Je ne me vois pas pousser la seringue pour tuer» : à Narbonne, la crainte d’un texte sur l’euthanasie qui bouscule les soins

Site : figaro.fr Publié le 13 décembre 2023 « Peut-être que je ne serai plus là dans six mois… ou dans cinq ans ? » Éric, 66 ans, ne sait pas combien de temps il lui reste à vivre. Et il ne souhaite pas fixer de rendez-vous avec cette mort qui lui fait peur, « comme tout le monde ». Alors que des Français partent se faire euthanasier en Belgique, cet ancien artisan est un Belge pris en charge dans un service de soins palliatifs en France. Arrivé dans l’Hexagone il y a plus de dix ans, Éric prévoit d’y finir ses jours. Atteint d’un cancer de la prostate qui a gagné les os, il fait des allers-retours depuis deux ans dans le service de soins palliatifs de l’hôpital privé du Grand Narbonne pour le soulager quand la douleur devient trop forte. Équipé d’une pompe à morphine, le dos courbé par une récente chute, il marche avec…

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Lettre novembre 2023

Un demi-siècle de magistère de l’Église sur la Vie humaine

Introduction Contexte historique Les progrès de la science et de la médecine ont permis depuis les années 1960 de procurer des moyens techniques inédits pour pratiquer la contraception, l’avortement, l’euthanasie, la location d’utérus (GPA), la création d’embryons en laboratoire (FIV) et d’autres pratiques posant de graves questions morales. L’Église a fait son devoir en s’exprimant à de nombreuses reprises sur ces sujets. Elle a donné au monde deux encycliques de deux papes et cinq textes de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi concernant la protection et la promotion de la vie humaine. La Congrégation pour la Doctrine de la Foi (aujourd’hui Dicastère pour la Doctrine de la Foi) est l’organe romain qui assiste le pape dans sa mission de promotion de la foi et de la morale. Les textes du magistère de l’Église Les citations ci-dessous feront référence aux textes officiels par leur nom latin. Devant la légalisation massive…

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Évêques des États-Unis

La lutte contre l’avortement, « priorité absolue » des évêques américains

Famille Chrétienne, Louis de la Houplière, 20/11/2023 « Dans une culture où il y a tant de morts et tant de mépris pour la vie, nous, les évêques, et ensemble, en tant que famille catholique unie, nous devons être unis. » Cette union a été consacrée le 15 novembre par la Conférence épiscopale américaine, qui se retrouvait en assemblée plénière. Avec pour objectif la publication d’un petit guide de vote pour éclairer les fidèles, en vue des élections présidentielles de 2024. Un amendement, ajouté à la dernière minute, a particulièrement retenu l’attention : la lutte contre l’avortement, assortie de la mention « priorité absolue », approuvé à 225 voix contre 11. Les évêques américains se réunissaient à Baltimore à l’occasion de leur assemblée plénière d’automne pour actualiser un document baptisé Former les consciences pour une citoyenneté fidèle. Il s’agit d’un guide pédagogique adressé aux fidèles sur la responsabilité politique des catholiques. L’échéance présidentielle de 2024 approchant à grands pas, les…

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Jean-Marie Le Méné

Fin de vie : légaliser l’euthanasie n’est « pas un progrès, mais un catafalque social »

Alors que la présentation du projet de loi sur l’euthanasie et le suicide assisté en Conseil des ministres devrait être imminente, le groupe d’étude « fin de vie » de l’Assemblée nationale poursuit ses travaux. Le 8 novembre, Jean-Marie Le Méné, président de la Fondation Jérôme Lejeune, a été invité par le député Olivier Falorni, président du groupe d’étude, à débattre face au Docteur Denis Labayle, président d’honneur de l’association Le choix et fervent défenseur de « l’aide active à mourir ». Une trentaine de députés et collaborateurs étaient présents. Gènéthique retranscrit son intervention. Monsieur le député, souffrez que je me permette, au préalable, une mise au point. Dans le débat qui a suivi la projection du film Mourir n’est pas tuer hier soir sur C8 (cf. Géraud Burin des Roziers enquête au cœur de la fin de vie dans son nouveau documentaire), vous avez commencé par mettre en cause la fondation Jérôme Lejeune et son président,…

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