BLOG PRO-VIE
Notre blog a pour vocation de vous informer sur les mouvements pro-vie, les aides pour les femmes enceintes, les conséquences de l'avortement, la gestion naturelle de la fertilité, le regard de l'Église catholique sur les enjeux liés à la vie, des prières pour la vie, etc.
Catégories : Aide aux femmes enceintes - Avortement - Contraception et gestion naturelle de la fertilité - Église catholique - Être pro-vie - Euthanasie et soins palliatifs - Infertilité - Lettre semestrielle du Réseau Vie - PMA - Prière pour la vie
Avortement : conséquences
L’étude des conséquences d’un avortement est inséparable de la tragique ‘loi Aubry’ de 2001, aggravée par la loi de 2017 : le « délit d’entrave » introduit une difficulté artificielle dans la recherche d’informations objectives et non biaisées.
De sorte que la France se distingue par une information officielle uniquement en faveur de l’élimination2, accentuée par les multiples pressions sur les divers acteurs :
« Aucun médecin, aucune infirmière, aucun adulte ne m’a montré une autre voie que l’avortement »
« Personne n’a cherché à savoir si [je voulais vraiment avorter]. Même la psychologue à qui j’ai essayé de dire que je préférais [le] garder n’a pas prêté attention à ma parole, comme si mon avis ne comptait pas. »
La pilule contraceptive : genèse, conséquences et analyse
Cette étude se propose de donner une synthèse du livre remarquable de S. Debusquat (« J’arrête la pilule »).
L’auteur est une femme qu’on peut décrire en première approche comme féministe de gauche, tant par son activité professionnelle que par les opinions professées. Nous soulignons cependant la qualité factuelle exceptionnelle de l’étude, dont nous ne voyons pas aujourd’hui d’équivalentb.
La première partie parlera de la genèse du produit et des circonstances troublantes de son autorisation ; la seconde abordera les principales conséquences recensées, sur la santé des femmes qui en consomment, mais aussi sur la santé publique.
L’objection de conscience
Objection de Conscience : refus, pour un individu ou un groupe, d’obéir à une loi ou un règlement adopté par la majorité des citoyens, ou imposé par un gouvernement, et ce au nom d’une exigence supérieure, qu’il perçoit dans sa conscience.
Clause de Conscience : cadre légal prévu pour l’exercice de ce refus.
« Lorsqu’on choisit une action morale ou immorale, on choisit aussi de devenir un certain type de personne ».
Procréation médicalement assistée (PMA) pour les femmes : quelques éléments de discernement
Dans la foulée de l’avis favorable donné par le comité consultatif national d’éthique en juin 2017, la PMA dite pour les femmes sera discutée cette année dans le cadre des états généraux de la bioéthique, avant un possible projet de loi en la matière lors de la révision de la loi de bioéthique.
Il importe donc que le législateur comme les citoyens s’emparent de ce sujet afin d’en saisir les enjeux.
Je parle d’IVG avec ma fille
Quand et comment aborder le problème de l’avortement avec nos enfants ? Pour faire suite au document publié dans notre dernière lettre trimestrielle voici un entretien entre Sandrine Roulet (magasine Family) et Catherine et Michel Hermenjat, animateurs de groupes d’accompagnement post-avortement.
Quarante ans après la légalisation de l’avortement en France cette pratique est aujourd’hui courante, y compris parmi les jeunes. Comment et quand évoquer ce sujet avec nos filles ?
Je parle d’IVG avec mon fils
Mon fils,
Je profite de ton séjour linguistique à l’étranger pour t’écrire ce petit mot que tu pourras lire tranquillement. Tu en es à ta quinzième année, ta voix mue, tu prends de l’épaisseur et ton regard sur les filles est en train de changer. Je suis fier de toi et d’envisager ton avenir m’emplit de joie et d’espoir.
C’est l’occasion de marquer le cap et de te parler de sexe, d’homme à homme.
L’avortement, pourquoi ? Les causes fondamentales de l’avortement
Dans cet article, nous essayerons de voir et de connaître les causes fondamentales d’un avortement.
Quand on interroge les femmes sur les bienfaits de l’avortement, plus de 80% estiment qu’il vaudrait mieux l’éviter ; et seule une infime minorité (moins de 3%) persiste à affirmer qu’il n’a aucune conséquence psychologique.
On ne peut qu’être frappé de la discordance entre cette perception et le nombre d’avortements en France : pourquoi recourir massivement à un acte que les principales intéressées désapprouvent tout aussi massivement ?
Les dernières évolutions législatives
La loi du 26 janvier 2016 supprime le délai de réflexion en matière d’avortement, donne aux sages-femmes la possibilité de réaliser un avortement médicamenteux et aux médecins des centres de santé celle d’effectuer un avortement chirurgical. De plus les établissements de santé se voient imposer des objectifs en quotas d’avortements.
On peut observer dans le même temps que, si l’avortement est vigoureusement encouragé, sans exclure la coercition, la grossesse en vue d’une naissance – pardon pour le pléonasme – ne se voit guère encouragée.
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