Garder un bébé qui risque de mourir

En 2015, un couple de Grenoble se trouve confronté à l’annonce d’un enfant atteint de trisomie 18. C’est leur troisième enfant.

L’avortement leur fut tout de suite proposé. Dans la préparation au mariage, ils en avaient discuté, et ils étaient tombé d’accord de garder leur bébé si la situation se présentait.

Les parents décidèrent donc de le garder. Ils commencent par nommer le bébé Azélie.